En France le poids des retraites, prestations sociales (santé, allocations-chômage...) est très élevé à en croire des données publiées mercredi 23 janvier par l’OCDE.
Les dépenses socialespubliques dans notre pays se sont ainsi élevées à 31,2 % du produit intérieur brut (PIB) en 2018 dont 13,9 % pour les retraites. Suivent la Belgique (28,9 %) et la Finlande (28,7 %). Dans ces deux derniers pays également bien au-delà de la moyenne de l’OCDE qui s’établit à 20,1 %.
La Corée du Sud (11,1 %), le Chili (10,9 %) et le Mexique (7,5 %) dépensent beaucoup moins à ce titre.
Mais cette hiérarchie est bousculée lorsque les dépenses privées de retraite et de santé sont également prises en compte. Dans ce cas, les États-Unis - où la part des dépenses privées s’élève à 12,5 % du PIB contre 3,6 % en moyenne dans la zone OCDE - passent du 21e rang au deuxième, juste derrière... la France.
La paix en Europe depuis plus de 70 ans (malgré ce qui s'est passé dans l'ex-Yougoslavie) ne dégage pas de plus value émotionnelle pour les électeurs d'aujourd'hui.
La Grande Bretagne sera considérée par l'Europe comme l'est la Turquie. Avec 1 accord de partenariat similaire et en plus quelque chose concernant la pêche et.....
Le budget fédéral européen est financé par les 1% des produits intérieurs bruts de chacun de ses membres contre 27% de celui des Etats fédéraux américains. Chez nous il faut faire plus afin de pourvoir aux besoins de protection et d'assistance (armée européenne, etc.....).
Enfin l'Europe n'est pas seulement 1 marché mais doit être 1 projet soutenu par une vision.
Les entreprises aujourd'hui sont comparables à des ...montgolfières. Il faut parfois lacher du lest (= licencier) quand on veut monter, c'est à dire faire progresser le cours de Bourse.
Ascenseur du siège : seul moyen pour voyager dans les mêmes conditions que son imminent patron.
Cette crise des gilets jaunes cristallise l'état de la France.
La croissance française d'environ 8% de 2008 à 2017 a été totalement absorbée par les effets démographiques, c'est à dire le vieillissement et la mofication de la structure des ménages, notamment les familles monoparentales et les personnes seules.
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Le mouvement des gilets jaunes a bénéficié du soutien de l'opinion, en dépit même d'une certaine violence. Le refus du compromis montre qu'il y a une sorte de continuum entre une forte proportion de français, les gilets jaunes et les casseurs. Alors qu'on pouvait penser qu'il y aurait une séparation étanche.
source : "Les racines d'une crise sociale et politique inédite", in "Le Monde" du 21 décembre 2018
Le corps social français résiste à la "macronie" car il ne perçoit pas d'amélioration de son sort en 2 ans.... après près de 40 années de déclin ressenti.
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